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Les derniers échos solos de Benoît Tremblay datent de mars/avril 2016, alors qu'il présentait le majestueux assemblage de collages et de peintures ayant pour titre CREUSER LE QUOTIDIEN À S'EN ARRACHER LES YEUX, à la défunte galerie Crystal Racine. Il a depuis participé à quelques exhibitions collectives, mais très peu. Non pas sans joies ni sans éléments d'une quelconque paresse, la vie l'a amené à se confiner prématurément dans les dédales de son atelier. Se replier, avec quelques devantures éclairs, pour prendre soin des enfants n'est pourtant pas un lieu d'abandon de l'imaginaire... Bien au contraire. C'est le plus bel élan de stagnation pour un mûrissement de la créativité et de la création en soi. Parcontre, le choix n'en n'est pas si simple et non plus toujours si joyeux. Vous trouvez complexe et morose de vous confiner à l'heure actuel; imaginez-vous être une oeuvre qui l'est depuis près de 4 ans déjà.

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Voici les Potlatchs visuels confinés depuis 2016... Merci à vous d'y jeter un lent regard, mais ne tomber surtout pas dans la contemplation. 

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